Mikama - March 12, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Selon le rapport d’évaluation de la Banque mondiale concernant les pertes causées par la dégradation environnementale, Mada­gascar enregistre chaque année une perte d’environ 450 millions de dollars, soit 10 % du Produit intérieur brut (PIB). Les systèmes de cultures tradi­- tionnelles comme le « tavy » sont les plus souvent cités comme première cause de la dégradation de l’environnement.

NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar pourrait se réjouir de n'avoir que moins de 1 % de sa population porteuse du VIH. Pourtant, les autorités redoutent une explosion à la sud-africaine car les Malgaches, qui ne croient pas au sida, ne se protègent pas. (..) Le combat contre la pandémie est associé automatiquement à la distribution gratuite de condoms lors des festivités et autres carnavals. A Madagascar, le taux de prévalence est officiellement de 1,1%. Mais 29 localités rurales isolées enregistrent une prévalence de 2 à 15,6 %, résultats des tests pratiqués sur les femmes enceintes, seul moyen d'avoir des statistiques. (..) Pour l'heure, ni les 42 morts depuis 1987, ni les 261 séropositifs, chiffre officiel du service de la lutte contre le sida du ministère de la Santé, ne semblent inquiéter les Malgaches.



Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Une nouvelle maladie, infestant les plants de tomate, dont la propagation atteint une vitesse inouïe, fait l’objet de leur préoccupation. Les techniciens agricoles n’auraient pas encore trouvé de nom pour cette nouvelle maladie, mais les paysans l’appelle « boka mena ». Certains techniciens ne sont même pas au courant de son existence. « La maladie n’a rien à voir avec la gale. Ce type de maladie est actuellement bien maîtrisé par les agriculteurs, grâce aux DTT. Lorsque la plante est infectée par cette nouvelle maladie, les feuilles de tomate commencent à se contracter. Les fruits n’arrivent plus à se développer », a expliqué Victor Rasami­manana, agriculteur à Ambohimandry, commune Mahitsy.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Il faut aussi rappeler que sur la période 1970-2000, Madagascar a perdu en moyenne environ 1 000 km de routes par an. Si au début des années 60 donc, le pays disposait de 50 000 km de routes, il n’en comptait plus que 38 000 km à l’heure actuelle. (..) Mais bien avant la crise, plus précisément en 2007, un peu plus de 22% des ruraux vivaient déjà à moins de 2 km d’une route circulable toute l’année.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le Syndicat Autonome des Travailleurs de la Jirama prône l’idée que cette société d’Etat doit avoir une capacité d’investir pour augmenter sa production face à la demande croissante des clients. « Il faut que l’Etat le laisse investir en installant des centrales hydrauliques au lieu de négocier avec des sociétés fournisseurs, pour ce faire », ont revendiqué les employés de la Jirama. (..) En fait, les syndicalistes de la société [Jirama] ne cessent d’exposer que le coût d’exploitation de la société est très élevé étant donné que 85 % de ses charges sont destinées à l’achat des carburants utilisés pour le fonctionnement des centrales thermiques. Ces centrales fournissent presque les 75 % de la production énergétique de la Jirama.

CHAN-MOUIE Jean Anastase dans  Midi Madagasikara
A l’instar de nombreuses régions de l’Ile, l’Amoron’i Mania n’a pas été en reste, puisqu’elle bénéficie de l’appui de l’Union européenne et du royaume de Norvège, dans le programme d’appui d’urgence à l’Education Nationale à Madagascar ou  « GAP financing ». (..) Le  programme dans son ensemble est financé à hauteur de 15 millions d’euros, soit près de 45 milliards d’ariary et mise en œuvre par l’UNICEF.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
D’après l’état des lieux sur la gouvernance locale initié par le Comité pour la Sauvegarde de l’Intégrité (CSI) dans le cadre de l’élaboration du document d’orientation stratégique sur la gouvernance à Madagascar, le déséquilibre dans la répartition des dépenses publiques reste une réalité : les dépenses de l’administration représenteraient 96 % des dépenses totales et celles des collectivités, essentiellement les communes, représentent seulement 4 %, dont une grande partie, celles des communes urbaines.

Sera R. dans Newsmada
Tourisme : la Sava prête à rivaliser le circuit Grand sud. (..) Il y a également l’escalade du massif de Marojejy, qui culmine à 2 132 m d'altitude, un parc national de renommée mondiale pour sa richesse en espèces endémiques de faune et flore. Il compte 118 espèces d'oiseaux, 148 espèces de reptiles et d'amphibiens et 11 espèces de lémuriens dont le sifaka soyeux (Propithecus candidus) qui fait partie des 25 espèces de primates les plus menacées au monde.
Côté flore, le parc renferme plus de 2 000 espèces de plantes à fleurs Angiospermes. Parmi elles, 35 espèces de palmiers, dont certaines sont en voie de disparition, et sept endémiques. Le nombre total de fougères et de plantes alliées recensées dans le Parc National du Marojejy à ce jour est de 292 espèces, selon l’ORTS.

Racl.R dans La Nation
D’après le bulletin du PADR n°6, l’insuffisance de semences de riz certifiées sur les marchés est l’un des facteurs de la diminution des produits rizicoles à Madagascar. (..) Ainsi, pour cette année, 3.000 tonnes de semences de riz certifiées en sont prévues, 12.000 tonnes en 2016 et plus de 20.000 tonnes en 2018.

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