Mikama - March 28, 2014

Jennifer Le Corre dans The Guardian
In Madagascar, as in most developing countries, women play a leading role in economic development. Women make up 34% of the formal sector and 65% of the informal sector. As heads of the households, these women are responsible for the basic needs of their family including childcare and education. Their maternal obligations take time and so the chance of these women successfully starting an income-generating activity is slim. (..) In honour of International Women's Day, EY and PlaNet Finance teamed up to launch their first collaborative online fundraising campaign. Thanks to this collaboration, a total of €14,000 was raised for the socioeconomic empowerment of Malagasy microentrepreneurs in Antananarivo. The fundraising delivered:• Support for over 400 Malagasy women; raising their income by 30%.• Among these 400+ women, 150 have been trained in, and now have access to financial services, including the introduction of loan portfolios and access to savings accounts.• 60 partner Microfinance Institution (MFI) loan officers have been trained in women's rights and gender equality....
Women perform 66% of the world's labour, produce 50% of the global food supply, but earn only 10% of worldwide income and own only 1% of its property (UNDP, 2013).

Racl.R dans La Nation
... le professeur Mamy Ravelomanana a fait mention de la manière dont les Angolais ont pu booster leur croissance économique jusqu’à 20% en utilisant leur propre potentiel. « L’Angola a pu s’en sortir car ils ont laissé les Chinois exploiter leur pétrole. En exploitant ce pétrole, les Chinois ont du construire de différents infrastructures dans leur pays. En fin de compte, les Chinois ont eu le pétrole et les Angolais ont hérité des infrastructures. En ce moment le PIB per capita des Angolais a triplé », a expliqué le professeur Mamy Ravelomanana. Notons que le PIB per capita de l’Angola est de 3.000 dollars.

René Cyrille dans Newsmada
Reflets de la quotidienneté : les chemins du grand banditisme: De la petite délinquance au grand banditisme - Alerte à la contagion.

La pauvreté grandissante, les limites de la puissance publique à mener des poursuites contre les signes extérieurs d’enrichissement sans cause, que ce soit l’enrichissement suspect de délinquants en col blanc ou celui de suspects aux mains rouges, une indulgence de l’opinion publique, autant de considérations favorables à une décadence vers un « Etat-jungle ».

R.Edmond dans Midi Madagasikara
« Nous voulons aller le plus vite possible car il y a urgence en matière de lutte contre la pauvreté à Madagascar ». Et ce ne sont pas les fonds qui manquent pour cela, puisque d’après toujours Haleh Bridi, il y a déjà de la part des bailleurs de fonds environ un milliard de dollars de fonds disponibles. 341 millions de dollars parmi ces financements proviennent de la Banque mondiale. Ce sont des fonds disponibles en attendant  les nouveaux financements qui seront négociés avec le gouvernement de la IVe République.  Des fonds qui seront utilisés pour un certain nombre d’actions prioritaires relevant de plusieurs secteurs dont les infrastructures, la santé, l’éducation et surtout la lutte contre la pauvreté.

Fahranarison dans Newsmada
Un filet social pour les couches sociales défavorisées. Cette intervention de la Banque mondiale est largement justifiée par l’incidence de la pauvreté à Madagascar, qui semble installée de façon permanente jusqu’à revêtir « un caractère structurel », d’après le DG de l’Instat, Paul Gérard Ravelomanantsoa. (..) Le premier projet dénommé « Projet d’urgence pour la sécurité alimentaire et la protection sociale » (Pursaps), est doté d’un montant de 65 millions de dollars, soit environ 148 milliards d’ariary. (..) Ce projet profite à 9 millions d’habitants issus des quelques régions (Vakinankaratra, Amoron’i Mania, Matsiatra Ambony, Ihorombe, Itasy) et de trois greniers à riz du pays, à savoir Marovoay, Alaotra et Andapa. (..) Le deuxième projet, d’un montant de 10 millions de dollars, soit environ 22 milliards 700 millions d’ariary, vient s’ajouter à un projet déjà existant, à savoir le Projet d’appui d’urgence aux services essentiels en matière d’éducation, de santé et de nutrition (Pausens). Selon les informations, 687.000 personnes supplémentaires (femmes enceintes ou allaitantes, enfants de moins de cinq ans) sont concernées par ce nouveau crédit

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar/La Réunion : la coopération industrielle se dessine. Les thèmes à aborder portent sur la maîtrise énergétique, la qualité et la maintenance industrielle, des thèmes sélectionnés selon la demande des membres du SIM. La 2ème étape portera sur le diagnostic technique des industries visitées et qui sera axé sur les thèmes cités ci-dessus. Elle devrait avoir lieu courant avril 2014. Pour la dernière étape du programme qui se fera également dans le courant de cette année, il s’agit pour des industriels de Madagascar de se rendre à la Réunion pour voir comment les Réunionnais fonctionnent sur ces thèmes. Parmi les industries qui adhèrent à ce programme, citons Bionnex, chocolaterie Robert, compagnie Vidzar, Cotona, Enduma, Savonnerie tropicale, Socobis…

Sera R dans Newsmada
La consommation d’huîtres et de moules dans la rue est devenue une tendance pour les tananariviens non seulement à cause de leur important apport en calcium et en iode, mais aussi de par leur prix accessible qui est de 600 Ar la douzaine. (..) De plus ce constat part aussi du fait que ces vendeurs arrivent, en majorité, à épuiser leur stock qui se situe autour d’un à deux sacs de 50 Kg par jour. Comme un sac renferme environ 200 huîtres, un vendeur réussit ainsi à obtenir une recette journalière qui oscille entre 10 000 et 20 000 Ar.

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