Bill dans Madagascar Tribune
.. Chabani Nourdine, estime que malgré tout, l’environnement des affaires est en train de s’améliorer et c’est encourageant, à preuve une augmentation de 9,6% des investissements directs étrangers (IDE) enregistrée dernièrement. Des hommes d’affaires kenyans prévoient un investissement de l’ordre de 70 à 75 millions de dollars à Mahajanga où ils envisagent de créer une minoterie et d’y développer la culture du maïs dès 2018. (..) Récemment, le ministre Chabani Nourdine s’est déplacé à Morondava et y a annoncé la réouverture de la sucrerie d’Analaiva. Une équipe de la direction générale de la société SUCOMA qui exploite cette sucrerie est en train actuellement d’évaluer la remise en état des usines, des besoins en équipements et matériels des établissements détruits voici trois ans. A l’époque les pertes occasionnées par les actes de vandalisme et incendies contre la SUCOMA et ses dirigeants qui ont du fuir la zone, ont été estimées à près de 50 millions de dollars. La fermeture a provoqué le chômage de quelque 1500 employés, tout statut confondu et selon les dires des anciens de la SUCOMA, le désarroi et le manque de ressources
Dans La Gazette de la Grande Ile
Le secteur financier est globalement peu diversifié et peu développé. En 2016, il comptait 11 banques, 3 établissements financiers et 25 institutions de microfinance. Plus rapporte Perspectives économiques en Afrique © BAfD, OCDE, PNUD 2017 , les activités des banques se concentrent sur les grandes entreprises, si bien que le taux de bancarisation reste très faible à Madagascar (6 %). (..) Les taux d’intérêt très élevés constituent la principale faiblesse du secteur avec un écart entre le taux débiteur et le taux créditeur de 12 % en 2015. Les concours à moyen et long termes ne représentent qu’environ 40 % du crédit bancaire, (..) En termes de perspectives, la mise en œuvre de son nouveau statut adopté en 2016 devrait renforcer l’indépendance de la Banque centrale en matière de politique monétaire et de stabilité financière. Cela devrait lui permettre de se conformer aux principes fondamentaux de Bâle pour un contrôle bancaire efficace. Ce nouveau statut devrait également permettre l’élimination graduelle des avances statutaires au gouvernement à l’horizon 2019. Ces différentes actions devraient ainsi contribuer à la stabilité des prix et contenir le taux d’inflation sous la barre de 7 %.
... Malagasy - First Cup in the Moaning - Pôse Café du Mâtin - Madagascar ...
Mikama - May 30, 2017
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Promesse tenue. Chabani Nourdine, ministre de l’Industrie et du développement du secteur privé (MIDSP) a annoncé depuis septembre dernier que l’usine de sucrerie de Siranala ou sucrerie d’Analaiva, reprise en location gérance par SUCOMA, (sucrerie de Complant de Madagascar) en 1997, va rouvrir ses portes. Il a personnellement rencontré le Président directeur général de Complant, Gu Haitao en Chine... La production annuelle de SUCOMA est évaluée à 15700 tonnes. L’usine emploie quelque sept cents employés permanents et deux mille saisonniers. Elle produisait aussi de l’alcool, 16000 hectolitres pour la campagne 2013-2014.
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
Madagascar a enregistré une exportation d'or de 900kg pour le premier quadrimestre 2017 contre 587kg pour la totalité de l'année 2016... En fait, la quantité d'or exportée illicitement de Madagascar dépasse celle qui est officiellement déclarée dans le pays. En 2012-2013, l'administration minière de Madagascar a seulement enregistré 150 kg d'or officiellement exportés, mais la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement a signalé qu'une quantité de 600 kg d'or d'une valeur de 18 millions de dollars a été illicitement exportée de Madagascar au cours de cette période. La Banque mondiale a également déclaré que des pierres précieuses d'une valeur entre 100 millions à 200 millions de dollars ont été exportées clandestinement de Madagascar chaque année et seulement 5% de la production minière nationale a été déclarée officiellement.
Dans La Gazette de la Grande Ile
Plus, mentionne le programme d’appui à la finance inclusive à Madagascar (PAFIM), les résultats des évaluations conduites en juillet-août 2016 dans le Sud montrent qu’un nombre de 1.216.523 de personnes continuent à être affectées par la sécheresse et que 599.653 personnes se trouvent toujours en situation d’insécurité alimentaire sévère. (..) Les évaluations de juillet-août ont rendu compte également d’une perte globale pour les 07 Districts d’environ 80% de la récolte au mois de juin 2016.
Promesse tenue. Chabani Nourdine, ministre de l’Industrie et du développement du secteur privé (MIDSP) a annoncé depuis septembre dernier que l’usine de sucrerie de Siranala ou sucrerie d’Analaiva, reprise en location gérance par SUCOMA, (sucrerie de Complant de Madagascar) en 1997, va rouvrir ses portes. Il a personnellement rencontré le Président directeur général de Complant, Gu Haitao en Chine... La production annuelle de SUCOMA est évaluée à 15700 tonnes. L’usine emploie quelque sept cents employés permanents et deux mille saisonniers. Elle produisait aussi de l’alcool, 16000 hectolitres pour la campagne 2013-2014.
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
Madagascar a enregistré une exportation d'or de 900kg pour le premier quadrimestre 2017 contre 587kg pour la totalité de l'année 2016... En fait, la quantité d'or exportée illicitement de Madagascar dépasse celle qui est officiellement déclarée dans le pays. En 2012-2013, l'administration minière de Madagascar a seulement enregistré 150 kg d'or officiellement exportés, mais la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement a signalé qu'une quantité de 600 kg d'or d'une valeur de 18 millions de dollars a été illicitement exportée de Madagascar au cours de cette période. La Banque mondiale a également déclaré que des pierres précieuses d'une valeur entre 100 millions à 200 millions de dollars ont été exportées clandestinement de Madagascar chaque année et seulement 5% de la production minière nationale a été déclarée officiellement.
Dans La Gazette de la Grande Ile
Plus, mentionne le programme d’appui à la finance inclusive à Madagascar (PAFIM), les résultats des évaluations conduites en juillet-août 2016 dans le Sud montrent qu’un nombre de 1.216.523 de personnes continuent à être affectées par la sécheresse et que 599.653 personnes se trouvent toujours en situation d’insécurité alimentaire sévère. (..) Les évaluations de juillet-août ont rendu compte également d’une perte globale pour les 07 Districts d’environ 80% de la récolte au mois de juin 2016.
Mikama - May 29, 2017
José Belalahy dans Midi Madagasikara
D’après le rapport sur l’enquête sur la transition vers la vie active menée par le Bureau International du travail ETVA-Madagascar 2013, trois facteurs définissent la situation actuelle des jeunes malgaches. Il y a d’abord le chômage qui concerne plus les jeunes femmes, avec un taux de chômage de 1,4% que les jeunes hommes (taux de chômage de 1,1%). (..) Par ailleurs, le rapport ETVA-Madagascar 2013 révèle que les activités professionnelles se concentrent surtout en milieu rural qu’urbain. En effet, le rapport stipule que 82,7% du taux d’activité global des individus potentiellement a ctifs (qui lui est de 63,3%) résident dans les campagnes.
Mamisoa Antonia dans L'Express de Madagascar
Les jeunes se lancent à la prostitution. Les réseaux sociaux, à l’exemple de facebook, favoriseraient cette activité. (..) L’Esec existe à Madaga-scar, sous toutes ses formes : la violence sexuelle intrafamiliale, le mariage précoce ou l’exploitation sexuelle des enfants dans le tourisme et le voyage, la pornographie mettant en scène les enfants. « Il y a une méconnaissance des lois. Nous avons commencé à former des hommes de lois dans les régions de Madagscar afin de les éclaircir sur ces sujets», affirme Arisoa Ambinina Raveloharison, chargé de travail social à l’Ecpat. La loi de 2007-038 sur la traite des personnes à des fins commerciales a été modifiée à travers la loi 2015-040. De plus, des nouveaux termes comme la pédopornographie n’apparaissent plus dans cette réforme.
Dans L'Express de Madagascar
WWF appelle à la prise de conscience de tous devant la grave déforestation que subit Menabe Antimena. Les 1 820 ha de forêt sont menacés de disparaître totalement d’ici quelques années. Les Tsingy de Bemaraha, l’allée des baobas et la forêt de Kirindy qui sont abrités dans cette grande forêt de Menabe sont gravement menacés. 75% des espèces végétales de la grande île ont déjà disparu et la forêt ne couvre plus que 20% de la surface du pays
Riana R. dans NewsMada
Pour le cas de Madagascar, la place des jeunes, la parité dans la société, le self-estime, la rigueur, la volonté du concret, tous ces points ont été abordés lors de la rencontre. Le président du projet Smart Africa a poursuivi dans ce sens que « Madagascar est un des pays africains dotés des meilleurs outils et équipements en termes d’Autorité de régulation ( …) sans compter le nombre de jeunes Malgaches qui ont un talent dans le domaine de l’ingénierie et des TIC (…) Que Madagascar soit ou non membre de Smart Africa, le pays doit pouvoir s’inspirer de cette vision. Chaque pays membre a son projet phare et nul doute que si Madagascar intègre un jour Smart Africa. Nombreux sont les types de projet qui pourront être développés ».
D’après le rapport sur l’enquête sur la transition vers la vie active menée par le Bureau International du travail ETVA-Madagascar 2013, trois facteurs définissent la situation actuelle des jeunes malgaches. Il y a d’abord le chômage qui concerne plus les jeunes femmes, avec un taux de chômage de 1,4% que les jeunes hommes (taux de chômage de 1,1%). (..) Par ailleurs, le rapport ETVA-Madagascar 2013 révèle que les activités professionnelles se concentrent surtout en milieu rural qu’urbain. En effet, le rapport stipule que 82,7% du taux d’activité global des individus potentiellement a ctifs (qui lui est de 63,3%) résident dans les campagnes.
Mamisoa Antonia dans L'Express de Madagascar
Les jeunes se lancent à la prostitution. Les réseaux sociaux, à l’exemple de facebook, favoriseraient cette activité. (..) L’Esec existe à Madaga-scar, sous toutes ses formes : la violence sexuelle intrafamiliale, le mariage précoce ou l’exploitation sexuelle des enfants dans le tourisme et le voyage, la pornographie mettant en scène les enfants. « Il y a une méconnaissance des lois. Nous avons commencé à former des hommes de lois dans les régions de Madagscar afin de les éclaircir sur ces sujets», affirme Arisoa Ambinina Raveloharison, chargé de travail social à l’Ecpat. La loi de 2007-038 sur la traite des personnes à des fins commerciales a été modifiée à travers la loi 2015-040. De plus, des nouveaux termes comme la pédopornographie n’apparaissent plus dans cette réforme.
Dans L'Express de Madagascar
WWF appelle à la prise de conscience de tous devant la grave déforestation que subit Menabe Antimena. Les 1 820 ha de forêt sont menacés de disparaître totalement d’ici quelques années. Les Tsingy de Bemaraha, l’allée des baobas et la forêt de Kirindy qui sont abrités dans cette grande forêt de Menabe sont gravement menacés. 75% des espèces végétales de la grande île ont déjà disparu et la forêt ne couvre plus que 20% de la surface du pays
Riana R. dans NewsMada
Pour le cas de Madagascar, la place des jeunes, la parité dans la société, le self-estime, la rigueur, la volonté du concret, tous ces points ont été abordés lors de la rencontre. Le président du projet Smart Africa a poursuivi dans ce sens que « Madagascar est un des pays africains dotés des meilleurs outils et équipements en termes d’Autorité de régulation ( …) sans compter le nombre de jeunes Malgaches qui ont un talent dans le domaine de l’ingénierie et des TIC (…) Que Madagascar soit ou non membre de Smart Africa, le pays doit pouvoir s’inspirer de cette vision. Chaque pays membre a son projet phare et nul doute que si Madagascar intègre un jour Smart Africa. Nombreux sont les types de projet qui pourront être développés ».
Mikama - May 26, 2017
Arh. dans NewsMada
L’annonce faite le 25 avril dernier de la création d’un fonds de financement de la formation professionnelle, prévue être opérationnelle en janvier prochain, a été confortée par la signature d’un protocole d’accord entre les partenaires sociaux le 11 mai dernier à la Chambre de Commerce et d’industrie d’Antananarivo. Dans le cadre de ce protocole, le Groupement des entreprises de Madagascar (Gem), le «Fivondronan’ny mpandraharaha malagasy» (Fivmpama) et la Conférence des travailleurs de Madagascar (CTM) ont exprimé leur convergence totale pour la création d’une cotisation à la charge des employeurs du secteur privé, à hauteur de 1% de la masse salariale brute qui sera formalisé par un projet de loi en cours de transmission au Conseil de gouvernement. Ils ont également prévu la création, dès que possible, d’une association de droit privé et d’utilité publique, ayant pour vocation de financer le développement de la formation professionnelle continue à Madagascar ...
Sa dans La Gazette de la Grande Ile
La société turquo-mauricienne Aksaf est, en effet, en train d’installer les 11 groupes électrogènes que l’avion géant Antonov 124 a déchargés le mois dernier. D’une puissance de 6 MGW chacune, les machines sont prévues de démarrer à partir de la date symbolique du 26 juin pour atteindre leur puissance maximale au mois d’août. Pareillement, les 2 groupes de 24 MGW chacun d’EDF que Jovenna a ramenés de La Réunion, sont encore en phase d’installation. Les premiers essais sont prévus la semaine prochaine et la phase d’exploitation à partir du mois de juillet. De son côté, l’américain Symbion Power va enfin pouvoir remplir son contrat. Deux ans après sa prise en main très controversée, l’ancienne usine de la Jirama est annoncée atteindre, au mois de juillet, sa capacité maximale de 40 MGW.
L’annonce faite le 25 avril dernier de la création d’un fonds de financement de la formation professionnelle, prévue être opérationnelle en janvier prochain, a été confortée par la signature d’un protocole d’accord entre les partenaires sociaux le 11 mai dernier à la Chambre de Commerce et d’industrie d’Antananarivo. Dans le cadre de ce protocole, le Groupement des entreprises de Madagascar (Gem), le «Fivondronan’ny mpandraharaha malagasy» (Fivmpama) et la Conférence des travailleurs de Madagascar (CTM) ont exprimé leur convergence totale pour la création d’une cotisation à la charge des employeurs du secteur privé, à hauteur de 1% de la masse salariale brute qui sera formalisé par un projet de loi en cours de transmission au Conseil de gouvernement. Ils ont également prévu la création, dès que possible, d’une association de droit privé et d’utilité publique, ayant pour vocation de financer le développement de la formation professionnelle continue à Madagascar ...
Sa dans La Gazette de la Grande Ile
La société turquo-mauricienne Aksaf est, en effet, en train d’installer les 11 groupes électrogènes que l’avion géant Antonov 124 a déchargés le mois dernier. D’une puissance de 6 MGW chacune, les machines sont prévues de démarrer à partir de la date symbolique du 26 juin pour atteindre leur puissance maximale au mois d’août. Pareillement, les 2 groupes de 24 MGW chacun d’EDF que Jovenna a ramenés de La Réunion, sont encore en phase d’installation. Les premiers essais sont prévus la semaine prochaine et la phase d’exploitation à partir du mois de juillet. De son côté, l’américain Symbion Power va enfin pouvoir remplir son contrat. Deux ans après sa prise en main très controversée, l’ancienne usine de la Jirama est annoncée atteindre, au mois de juillet, sa capacité maximale de 40 MGW.
Mikama - May 25, 2017
Luz R.R. dans Midi Madagasikara
La dimension genre de la scolarisation (primaire) est principalement ressortie des travaux des intervenants. En effet, le taux de scolarisation des filles est plus élevé que celui des garçons à Madagascar. Les filles seraient également plus performantes. Selon les intervenants, certains stéréotypes de genre (ex : les filles seraient davantage littéraires et les garçons scientifiques) seraient implicitement transmis par les enseignants et intériorisés par les élèves… Ce qui amène Bénédicte Gastineau à dire que « L’école (à Madagascar) est une fabrique de genre ». Valérie Golaz a quant à elle relevé que : « Le taux de scolarisation à Madagascar est relativement élevé (69%), mais instable et tributaire de la stabilité socio-économique. Entre 2008 et 2012 par exemple, le taux de scolarisation a accusé une baisse significative. »
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
47% des enfants malgaches souffrent de la malnutrition chronique, l’avitaminose A reste élevée affectant 40,2% des enfants de moins de 5 ans et induisant comme conséquence sous-jacente 24% des décès des enfants à Madagascar. S’ajoute à cela 50% des enfants de 6 à 59 mois et 35% des femmes sont atteints d’anémie. (..) En outre, la diffusion de l’aliment de complément au lait maternel « Koba Aina », trois nouveaux produits fortifiés seront conçus et diffusés. Le projet PFON aura une durée de 4 ans (2017-2020) et touchera 45 districts à Madagascar, et pour le projet PENIM avec ses approches innovantes d’éducation nutritionnelle via la téléphonie mobile durera 3 ans (2017-2019) et touchera 30 quartiers de la capitale. Ces projets auront pour cible environ 650.000 personnes.
D.H.R. dans La Vérité
Extension du port de Toamasina - Un des plus importants investissements dans le pays. La Grande île ne dispose pas d’infrastructure portuaire aux normes. Le prêt du Jica est estimé à 45 milliards 214 millions de yens japonais pour une durée de 40 ans. Durant les dix premières années du projet, le taux d’intérêt annuel est de 0,01 %. 65 % des dépenses seront prises en charge par les Japonais et 35 % par le ministère malagasy des Transports, celui des Finances et du Budget. Les travaux sont prévus débuter l’année prochaine, et ce, pour une durée de sept ans. La mise en œuvre du projet est attribuée à la Spat ( Société du port à gestion autonome de Toamasina).
La dimension genre de la scolarisation (primaire) est principalement ressortie des travaux des intervenants. En effet, le taux de scolarisation des filles est plus élevé que celui des garçons à Madagascar. Les filles seraient également plus performantes. Selon les intervenants, certains stéréotypes de genre (ex : les filles seraient davantage littéraires et les garçons scientifiques) seraient implicitement transmis par les enseignants et intériorisés par les élèves… Ce qui amène Bénédicte Gastineau à dire que « L’école (à Madagascar) est une fabrique de genre ». Valérie Golaz a quant à elle relevé que : « Le taux de scolarisation à Madagascar est relativement élevé (69%), mais instable et tributaire de la stabilité socio-économique. Entre 2008 et 2012 par exemple, le taux de scolarisation a accusé une baisse significative. »
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
47% des enfants malgaches souffrent de la malnutrition chronique, l’avitaminose A reste élevée affectant 40,2% des enfants de moins de 5 ans et induisant comme conséquence sous-jacente 24% des décès des enfants à Madagascar. S’ajoute à cela 50% des enfants de 6 à 59 mois et 35% des femmes sont atteints d’anémie. (..) En outre, la diffusion de l’aliment de complément au lait maternel « Koba Aina », trois nouveaux produits fortifiés seront conçus et diffusés. Le projet PFON aura une durée de 4 ans (2017-2020) et touchera 45 districts à Madagascar, et pour le projet PENIM avec ses approches innovantes d’éducation nutritionnelle via la téléphonie mobile durera 3 ans (2017-2019) et touchera 30 quartiers de la capitale. Ces projets auront pour cible environ 650.000 personnes.
D.H.R. dans La Vérité
Extension du port de Toamasina - Un des plus importants investissements dans le pays. La Grande île ne dispose pas d’infrastructure portuaire aux normes. Le prêt du Jica est estimé à 45 milliards 214 millions de yens japonais pour une durée de 40 ans. Durant les dix premières années du projet, le taux d’intérêt annuel est de 0,01 %. 65 % des dépenses seront prises en charge par les Japonais et 35 % par le ministère malagasy des Transports, celui des Finances et du Budget. Les travaux sont prévus débuter l’année prochaine, et ce, pour une durée de sept ans. La mise en œuvre du projet est attribuée à la Spat ( Société du port à gestion autonome de Toamasina).
Mikama - May 24, 2017
M.A. dans L'Express de Madagascar
Les feux de brousse et la pratique du tavy persistent 170 609 ha de forêts ont été rasés entre 2012 et 2013, selon les statistiques de Conser-vation International.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
.. avant ce fameux contrat, les recettes douanières des quatre premiers mois de 2016 se chiffraient à 74 milliards d’Ariary, alors que cette année, sur la même période, ce chiffre a atteint 95 milliards d’Ariary. D’après les explications, ce résultat découle de l’accroissement du volume des importations sur les déclarations IM4 (mise à la consommation), qui traduit qu’un climat de confiance commence à s’instaurer de la part des importateurs. Le délai de dédouanement s’est également amélioré, à raison de 85% des déclarations pour contrôle documentaire liquidées dans un délai de 24 heures à la fin du contrat de performance, si ce chiffre était de 53% avant dédouanement. Les objectifs, qui visaient à faciliter les opérations de dédouanement, à promouvoir la gouvernance, la lutte contre toutes formes de fraudes et de corruption ..
Arh. dans NewsMada
Avec une part de 14,8 % dans le PIB, l’industrie malgache est très en retard au regard de nombreux pays africains. Cependant, le pays regorge d’entreprises de très petite taille, dont la majorité évolue dans le secteur informel». C’est ce que rapporte la Banque africaine de développement (Bad) dans son rapport sur les «Perspectives économiques en Afrique 2017», axé sur le thème «Entrepreneuriat et industrialisation», publié lundi dernier à l’occasion des 52e Assemblées annuelles de la banque à Ahmedabad, en Inde. (..) «Pour répondre aux défis d’une transformation structurelle de l’économie propice à une croissance économique plus inclusive, le pays a besoin de combiner sa politique de développement des zones économiques spéciales (ZES) avec une politique de promotion de l’entrepreneuriat, notamment auprès des jeunes»
Les feux de brousse et la pratique du tavy persistent 170 609 ha de forêts ont été rasés entre 2012 et 2013, selon les statistiques de Conser-vation International.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
.. avant ce fameux contrat, les recettes douanières des quatre premiers mois de 2016 se chiffraient à 74 milliards d’Ariary, alors que cette année, sur la même période, ce chiffre a atteint 95 milliards d’Ariary. D’après les explications, ce résultat découle de l’accroissement du volume des importations sur les déclarations IM4 (mise à la consommation), qui traduit qu’un climat de confiance commence à s’instaurer de la part des importateurs. Le délai de dédouanement s’est également amélioré, à raison de 85% des déclarations pour contrôle documentaire liquidées dans un délai de 24 heures à la fin du contrat de performance, si ce chiffre était de 53% avant dédouanement. Les objectifs, qui visaient à faciliter les opérations de dédouanement, à promouvoir la gouvernance, la lutte contre toutes formes de fraudes et de corruption ..
Arh. dans NewsMada
Avec une part de 14,8 % dans le PIB, l’industrie malgache est très en retard au regard de nombreux pays africains. Cependant, le pays regorge d’entreprises de très petite taille, dont la majorité évolue dans le secteur informel». C’est ce que rapporte la Banque africaine de développement (Bad) dans son rapport sur les «Perspectives économiques en Afrique 2017», axé sur le thème «Entrepreneuriat et industrialisation», publié lundi dernier à l’occasion des 52e Assemblées annuelles de la banque à Ahmedabad, en Inde. (..) «Pour répondre aux défis d’une transformation structurelle de l’économie propice à une croissance économique plus inclusive, le pays a besoin de combiner sa politique de développement des zones économiques spéciales (ZES) avec une politique de promotion de l’entrepreneuriat, notamment auprès des jeunes»
Mikama - May 23, 2017
Harilalaina Rakotobe dans L'Express de Madagascar
C’est dans un contexte délicat où le taux d’accès à l’eau potable avoisine seulement les 30 % à 35% de la population que le concept Réservoir d’Eau Enterré Plein de Sable (REEPS) a été présenté, samedi, à la foire internationale de Madagascar. Le REEPS est, tout bonnement, une technique pour récupérer l’eau de pluie, et la rendre réutilisable. Avec cette technique, un investissement de base de 600 euros permettra à toute une population d’avoir accès à l’eau potable pour une durée garantie de 50 ans.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Production d’énergie solaire, stockage d’énergie, assainissement de l’eau et source de lumière … Ce sont les utilités de l’arbre solaire baptisé ALTES (Autonomous Life Tree Electric System), lancé par la fondation MANENTENA à Madagascar. 25.000 habitants du village d’Andralanitra, dans le domaine du Père Pedro, sont les premiers bénéficiaires de ces arbres solaires plantés samedi dernier. « Nous avons mis en place deux arbres ALTES qui comportent chacun quatre panneaux solaires. Ces fruits de nos dernières innovations fournissent aux bénéficiaires à Andralanitra, 2,24KW d’électricité, 12KW de stockage, 70 spots d’éclairage, ainsi que de l’eau potable. Ce système permet de fournir cinq à dix jours d’éclairage, sans ensoleillement », ont expliqué Gilles Garcia de la société Solstice
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Par ailleurs, le contexte social reste marqué par la pauvreté, la malnutrition et les inégalités croissantes, elles-mêmes attisées par une croissance démographique de 2.8 % par an. La population est relativement jeune, avec 76.2 % de moins de 35 ans. Selon le rapport, le marché du travail est dominé par le sous-emploi et la précarité de l’emploi. Quatre travailleurs sur cinq ont un emploi fragile (faiblement rémunéré, ou/et précaire), alors que 400 000 jeunes arrivent chaque année sur le marché du travail. Industrialisation. Avec une part de 14.8 % dans le PIB, l’industrie malgache est très en retard par rapport à de nombreux pays africains. Cependant, le pays regorge d’entreprises de très petite taille, dont la majorité évolue dans le secteur informel.
Nomena E. dans La Gazette de la Grande Ile
Placer l’argent dans des banques, demander crédit, ou gérer l’argent via les téléphones portables, les Malgaches hésitent encore. Les chiffres parlent de 37% de taux de pénétration à Madagascar pour l’accès aux micro-finances en 2017, et 34% pour le mobile banking. Pour ce dernier, l’objectif de 37% pour 2017 fixé en 2013 n’est pas atteint. C
Jean Riana dans La Gazette de la Grande Ile
Effectivement, seule une faible proportion des 500 000 jeunes qui arrivent annuellement sur le marché du travail arrive à accéder à l’emploi à cause de leurs inexpériences. (..) une hausse du taux de chômage surtout au niveau des jeunes de 15 à 24 ans qui est passé de 2,9 % en 2015 à 3,4 % en 2016.
C’est dans un contexte délicat où le taux d’accès à l’eau potable avoisine seulement les 30 % à 35% de la population que le concept Réservoir d’Eau Enterré Plein de Sable (REEPS) a été présenté, samedi, à la foire internationale de Madagascar. Le REEPS est, tout bonnement, une technique pour récupérer l’eau de pluie, et la rendre réutilisable. Avec cette technique, un investissement de base de 600 euros permettra à toute une population d’avoir accès à l’eau potable pour une durée garantie de 50 ans.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Production d’énergie solaire, stockage d’énergie, assainissement de l’eau et source de lumière … Ce sont les utilités de l’arbre solaire baptisé ALTES (Autonomous Life Tree Electric System), lancé par la fondation MANENTENA à Madagascar. 25.000 habitants du village d’Andralanitra, dans le domaine du Père Pedro, sont les premiers bénéficiaires de ces arbres solaires plantés samedi dernier. « Nous avons mis en place deux arbres ALTES qui comportent chacun quatre panneaux solaires. Ces fruits de nos dernières innovations fournissent aux bénéficiaires à Andralanitra, 2,24KW d’électricité, 12KW de stockage, 70 spots d’éclairage, ainsi que de l’eau potable. Ce système permet de fournir cinq à dix jours d’éclairage, sans ensoleillement », ont expliqué Gilles Garcia de la société Solstice
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Par ailleurs, le contexte social reste marqué par la pauvreté, la malnutrition et les inégalités croissantes, elles-mêmes attisées par une croissance démographique de 2.8 % par an. La population est relativement jeune, avec 76.2 % de moins de 35 ans. Selon le rapport, le marché du travail est dominé par le sous-emploi et la précarité de l’emploi. Quatre travailleurs sur cinq ont un emploi fragile (faiblement rémunéré, ou/et précaire), alors que 400 000 jeunes arrivent chaque année sur le marché du travail. Industrialisation. Avec une part de 14.8 % dans le PIB, l’industrie malgache est très en retard par rapport à de nombreux pays africains. Cependant, le pays regorge d’entreprises de très petite taille, dont la majorité évolue dans le secteur informel.
Nomena E. dans La Gazette de la Grande Ile
Placer l’argent dans des banques, demander crédit, ou gérer l’argent via les téléphones portables, les Malgaches hésitent encore. Les chiffres parlent de 37% de taux de pénétration à Madagascar pour l’accès aux micro-finances en 2017, et 34% pour le mobile banking. Pour ce dernier, l’objectif de 37% pour 2017 fixé en 2013 n’est pas atteint. C
Jean Riana dans La Gazette de la Grande Ile
Effectivement, seule une faible proportion des 500 000 jeunes qui arrivent annuellement sur le marché du travail arrive à accéder à l’emploi à cause de leurs inexpériences. (..) une hausse du taux de chômage surtout au niveau des jeunes de 15 à 24 ans qui est passé de 2,9 % en 2015 à 3,4 % en 2016.
Mikama - May 22, 2017
Dans PV Magazine
The plan, which is being implemented with the support of national agency Agence de Développement de l’Electrification Rurale (ADER), aims at doubling the rate of Madagascar’s rural electrification by 2020. Currently, only 14% of the country’s population have access to electricity. In its update on the program, the ministry said that already three regions; Androy, Anosy and Atsimo Andrefana, were assigned quotas of off-grid solar through the latest call for tenders for solar and wind stand-alone projects, in which the government allocated 14.5 MW of capacity. In February, an Expression of Interest (EoI) for a 3 MW PV power plant in Nosy Be, in the region of Diana, was issued. The project is part of the government’s plan to deploy between 30 MW and 40 MW of PV capacity across the country by 2020. In December 2016, the Ministry of Energy also issued an EoI for several hydropower projects and 30 MW of hybrid solar-biomass projects. Through the tender, the government hopes to build three hybrid solar-biomass projects which would have a capacity of 5 MW, 15 MW and 10 MW, respectively, and would be located in the regions of Menabe, Diana and Atsimo Andrefana. At the end of last year, the government also announced that French developer Green Yellow had begun work on a 20 MW PV facility in Ambohipihaonana, in the region of Ambatolampy. The €25 million project will sell power to local utility Jirama under a long-term PPA. The project is expected to be completed by November 2017. Most of Madagascar’s generation capacity is currently represented by thermal power stations (406 MW) and hydropower plants (162 MW). Wind and biomass have a minimal share with both a few hundreds of kWs installed. Madagascar aims at granting access to electricity to up to 70% of households, and at covering 85% of its energy mix with renewables by 2030. Solar and wind are expected to reach both a 5% share, while hydropower will have the lion’s share with around 75%.
DansWorld Politics Review
In 2003, China became Madagascar’s primary source of imports, and it is currently the island’s fifth-largest destination for exports. Overall, China is Madagascar’s most important commercial partner in terms of trade volume and total value of investments. (..) Chinese immigrants began arriving in Madagascar in the mid-1800s as laborers for French colonial projects, and many established themselves as traders along the eastern coast of Madagascar. Intermarriages were common, and at least 60 percent of the “old Chinese”—as they are known in Madagascar—are of mixed Sino-Malagasy heritage. With a Sino-Malagasy population of 60,000, the island is home to the second-largest community of locally born Chinese, behind South Africa. This has made the island especially attractive to the new wave of Chinese migrants and investors arriving since the 1990s. Although difficult to quantify, the number of Chinese nationals residing in Madagascar is currently estimated to be around 100,000, which is higher than the number of Chinese immigrants in most other African countries. (..) China moved forward with the largest investment deal in Madagascar to date for mining rights to an iron ore project... With a GDP per capita of $405 and 70 percent of its budget coming from donors, Madagascar is one of the poorest countries in the world. (..) Public perceptions of Chinese actors in Madagascar can also be quite negative and influenced by the belief that Chinese economic practices are not sufficiently regulated by either the Malagasy or Chinese state.
Dans Traffic (Bulletin 29)
China has been the main destination for Malagasy Dalbergia (rosewood and palisander) and Diospyros (ebony) species for over a decade. Since 2013, these species have been listed in Appendix II of the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES)... A study conducted by TRAFFIC (Ratsimbazafy et al., 2016) in Madagascar revealed that 98% of the Dalbergia and Diospyros species exported between 2010 and 2014 were landed in China. (..) While declared imports of Malagasy timber have declined, the large-scale seizures of Malagasy timber would suggest that the trade has been driven underground following the CITES listings and export bans
The plan, which is being implemented with the support of national agency Agence de Développement de l’Electrification Rurale (ADER), aims at doubling the rate of Madagascar’s rural electrification by 2020. Currently, only 14% of the country’s population have access to electricity. In its update on the program, the ministry said that already three regions; Androy, Anosy and Atsimo Andrefana, were assigned quotas of off-grid solar through the latest call for tenders for solar and wind stand-alone projects, in which the government allocated 14.5 MW of capacity. In February, an Expression of Interest (EoI) for a 3 MW PV power plant in Nosy Be, in the region of Diana, was issued. The project is part of the government’s plan to deploy between 30 MW and 40 MW of PV capacity across the country by 2020. In December 2016, the Ministry of Energy also issued an EoI for several hydropower projects and 30 MW of hybrid solar-biomass projects. Through the tender, the government hopes to build three hybrid solar-biomass projects which would have a capacity of 5 MW, 15 MW and 10 MW, respectively, and would be located in the regions of Menabe, Diana and Atsimo Andrefana. At the end of last year, the government also announced that French developer Green Yellow had begun work on a 20 MW PV facility in Ambohipihaonana, in the region of Ambatolampy. The €25 million project will sell power to local utility Jirama under a long-term PPA. The project is expected to be completed by November 2017. Most of Madagascar’s generation capacity is currently represented by thermal power stations (406 MW) and hydropower plants (162 MW). Wind and biomass have a minimal share with both a few hundreds of kWs installed. Madagascar aims at granting access to electricity to up to 70% of households, and at covering 85% of its energy mix with renewables by 2030. Solar and wind are expected to reach both a 5% share, while hydropower will have the lion’s share with around 75%.
DansWorld Politics Review
In 2003, China became Madagascar’s primary source of imports, and it is currently the island’s fifth-largest destination for exports. Overall, China is Madagascar’s most important commercial partner in terms of trade volume and total value of investments. (..) Chinese immigrants began arriving in Madagascar in the mid-1800s as laborers for French colonial projects, and many established themselves as traders along the eastern coast of Madagascar. Intermarriages were common, and at least 60 percent of the “old Chinese”—as they are known in Madagascar—are of mixed Sino-Malagasy heritage. With a Sino-Malagasy population of 60,000, the island is home to the second-largest community of locally born Chinese, behind South Africa. This has made the island especially attractive to the new wave of Chinese migrants and investors arriving since the 1990s. Although difficult to quantify, the number of Chinese nationals residing in Madagascar is currently estimated to be around 100,000, which is higher than the number of Chinese immigrants in most other African countries. (..) China moved forward with the largest investment deal in Madagascar to date for mining rights to an iron ore project... With a GDP per capita of $405 and 70 percent of its budget coming from donors, Madagascar is one of the poorest countries in the world. (..) Public perceptions of Chinese actors in Madagascar can also be quite negative and influenced by the belief that Chinese economic practices are not sufficiently regulated by either the Malagasy or Chinese state.
Dans Traffic (Bulletin 29)
China has been the main destination for Malagasy Dalbergia (rosewood and palisander) and Diospyros (ebony) species for over a decade. Since 2013, these species have been listed in Appendix II of the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES)... A study conducted by TRAFFIC (Ratsimbazafy et al., 2016) in Madagascar revealed that 98% of the Dalbergia and Diospyros species exported between 2010 and 2014 were landed in China. (..) While declared imports of Malagasy timber have declined, the large-scale seizures of Malagasy timber would suggest that the trade has been driven underground following the CITES listings and export bans
Mikama - May 19, 2017
Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Les dernières statistiques officielles datant de l’année 2001, révèlent que 98% de la population active sont touchées par la carie dentaire ou les parodontopathies. Et en moyenne, un adulte a treize dents endommagées. (..) Par ailleurs, l’insuffisance flagrante d’agents de santé préoccupe. On ne compte que mille deux cent cinquante chirurgiens-dentistes pour les vingt-deux millions d’habitants. Parmi eux, les deux tiers ont des cabinets privés et sont concentrés à Antananarivo et dans les chefs-lieux de province. Le reste tient les dentisteries publiques des cent treize districts et de quelques communes de Madagascar, alors que normalement, chaque commune doit en avoir une.
Depuis quelques années, le ministère de la Santé publique a procédé au recrutement d’une trentaine d’odontostromatologistes par an
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Environ 14.000 villages malgaches ont mis fin à la pratique de la défécation à l’air libre, d’après les chiffres du programme du Fonds d’appui pour l’assainissement … Un nouveau budget de 2.500.000 dollars est alloué pour la lutte contre la défécation à l’air libre, ce programme s’étendra jusqu’en 2019. (..) Seulement, 14% d’entre les Malagasy ont accès à des latrines améliorées. En outre, environ 48% de la population malagasy utilisent des toilettes de tous types, salubres ou non, selon des données concernant la situation à Madagascar en 2010.
Arh. dans NewsMada
Depuis son opérationnalisation en juillet 2016, le guichet unique à l’exportation (GUE) de Madagascar a traité plus de 3.000 dossiers. A noter que ce guichet unique réunit dans un même endroit les départements concernés par les procédures à l’exportation afin de réduire les coûts et le délai de traitement des dossiers. Les neuf ministères concernés délivrent, par l’intermédiaire du guichet, les autorisations liées à l’exportation. Dans ces procédures, le GUE facilite les procédures administratives dans la mesure où il procure les visas, les autorisations de sortie et les certificats de contrôle du conditionnement et d’origine (CCCO). Le délai de traitement des dossiers ne dépasse pas les 48 heures car ce sont les coursiers du guichet qui se déplacent afin de collecter les signatures nécessaires aux papiers des opérateurs.
Les dernières statistiques officielles datant de l’année 2001, révèlent que 98% de la population active sont touchées par la carie dentaire ou les parodontopathies. Et en moyenne, un adulte a treize dents endommagées. (..) Par ailleurs, l’insuffisance flagrante d’agents de santé préoccupe. On ne compte que mille deux cent cinquante chirurgiens-dentistes pour les vingt-deux millions d’habitants. Parmi eux, les deux tiers ont des cabinets privés et sont concentrés à Antananarivo et dans les chefs-lieux de province. Le reste tient les dentisteries publiques des cent treize districts et de quelques communes de Madagascar, alors que normalement, chaque commune doit en avoir une.
Depuis quelques années, le ministère de la Santé publique a procédé au recrutement d’une trentaine d’odontostromatologistes par an
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Environ 14.000 villages malgaches ont mis fin à la pratique de la défécation à l’air libre, d’après les chiffres du programme du Fonds d’appui pour l’assainissement … Un nouveau budget de 2.500.000 dollars est alloué pour la lutte contre la défécation à l’air libre, ce programme s’étendra jusqu’en 2019. (..) Seulement, 14% d’entre les Malagasy ont accès à des latrines améliorées. En outre, environ 48% de la population malagasy utilisent des toilettes de tous types, salubres ou non, selon des données concernant la situation à Madagascar en 2010.
Arh. dans NewsMada
Depuis son opérationnalisation en juillet 2016, le guichet unique à l’exportation (GUE) de Madagascar a traité plus de 3.000 dossiers. A noter que ce guichet unique réunit dans un même endroit les départements concernés par les procédures à l’exportation afin de réduire les coûts et le délai de traitement des dossiers. Les neuf ministères concernés délivrent, par l’intermédiaire du guichet, les autorisations liées à l’exportation. Dans ces procédures, le GUE facilite les procédures administratives dans la mesure où il procure les visas, les autorisations de sortie et les certificats de contrôle du conditionnement et d’origine (CCCO). Le délai de traitement des dossiers ne dépasse pas les 48 heures car ce sont les coursiers du guichet qui se déplacent afin de collecter les signatures nécessaires aux papiers des opérateurs.
Mikama - May 18, 2017
Bill dans Madagascar Tribune
La partie sud-est de l’île a été l’objet de remarque de la part de l’OMS mais le district de Betioky dans le sud-ouest n’est pas mieux loti ou servi. Le district compte 31 centres de santé de base (CSB) toutes catégories confondues. Presque tous les premiers responsables y sont des paramédicaux et le plus souvent, ils sont seuls au poste. Or précise Gisèle Rabemanarivo, médecin chef de l’hôpital principal de Betioky Atsimo, un CSB est en charge d’au moins cinq (5) fokontany et l’hôpital de district ne dispose que d’un médecin généraliste et d’un chirurgien.
Dans Madagascar Tribune
De 2012 à 2016, les défrichements ont diminué plus de 40%, de 3449,87 ha à 1166,58 ha dans six aires protégées de Madagascar. La surveillance aérienne a été un grand appui dans l’organisation des patrouilles et l’application des sanctions dans ces six aires protégés dont les parcs Kirindy-Mite et Tsimanampetsotse, la réserve spéciale d’Andranomena et les nouvelles aires protegées de Amoron’ny Onilahy, Ankodida et Nord Ifotaky. Le programme de surveillance aérienne initié par le Word Wide Foundtion (WWF) en collaboration avec le système d’Aires Protèges de Madagascar (SAPM), Aviation Sans frontières et Madagascar National Parks (MNP)
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
« Le pic de production en énergie atteint actuellement les 230 mégawatts pour le
réseau interconnecté d’Antananarivo », a fait savoir Olivier Jaomiary, directeur général de la Jirama, lors d’une visite sur terrain hier à Ambohimanambola. Or, les besoins pour Antananarivo sont de l’ordre de 220 mégawatts. (..) Arrivé au mois de mars, le groupe électrogène de la société turque Aksaf Power commence à prendre forme. Les installations des douze unités touchent presque à sa fin. Cette nouvelle centrale fonctionnant avec du fuel lourd est capable de produire jusqu’à 60 mégawatts d’électricité. (..) De son côté, le ministre de l’Eau, de l’énergie et des hydrocarbures, Lantoniaina Rasoloelison a annoncé les différents chantiers dans les énergies renouvelables, notamment de l’hydroélectrique. « Des chantiers sont en cours à Ranomafana, avec une capacité de production de 80 mégawatt et à Sahofika, d’une capacité de 220 mégawatts.
P.R. dans Midi Madagasikara
Créée en novembre 1999 et opérationnelle depuis janvier 2000, l’association AR MADA menée par Christian Gros et ses amis, affiche des résultats concluants : Plus de 300 000 consultations gratuites dans le nord-est et le centre-ouest du pays. Composée surtout de personnel médical venu de France, l’association entend élargir son champ d’action et agrandir la « famille » de soignants bénévoles. Le cortex de l’association AR MADA est composé de personnels de la santé qualifiés, venant de France et œuvrant bénévolement pour prodiguer des soins dans des zones isolées.
La partie sud-est de l’île a été l’objet de remarque de la part de l’OMS mais le district de Betioky dans le sud-ouest n’est pas mieux loti ou servi. Le district compte 31 centres de santé de base (CSB) toutes catégories confondues. Presque tous les premiers responsables y sont des paramédicaux et le plus souvent, ils sont seuls au poste. Or précise Gisèle Rabemanarivo, médecin chef de l’hôpital principal de Betioky Atsimo, un CSB est en charge d’au moins cinq (5) fokontany et l’hôpital de district ne dispose que d’un médecin généraliste et d’un chirurgien.
Dans Madagascar Tribune
De 2012 à 2016, les défrichements ont diminué plus de 40%, de 3449,87 ha à 1166,58 ha dans six aires protégées de Madagascar. La surveillance aérienne a été un grand appui dans l’organisation des patrouilles et l’application des sanctions dans ces six aires protégés dont les parcs Kirindy-Mite et Tsimanampetsotse, la réserve spéciale d’Andranomena et les nouvelles aires protegées de Amoron’ny Onilahy, Ankodida et Nord Ifotaky. Le programme de surveillance aérienne initié par le Word Wide Foundtion (WWF) en collaboration avec le système d’Aires Protèges de Madagascar (SAPM), Aviation Sans frontières et Madagascar National Parks (MNP)
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
« Le pic de production en énergie atteint actuellement les 230 mégawatts pour le
réseau interconnecté d’Antananarivo », a fait savoir Olivier Jaomiary, directeur général de la Jirama, lors d’une visite sur terrain hier à Ambohimanambola. Or, les besoins pour Antananarivo sont de l’ordre de 220 mégawatts. (..) Arrivé au mois de mars, le groupe électrogène de la société turque Aksaf Power commence à prendre forme. Les installations des douze unités touchent presque à sa fin. Cette nouvelle centrale fonctionnant avec du fuel lourd est capable de produire jusqu’à 60 mégawatts d’électricité. (..) De son côté, le ministre de l’Eau, de l’énergie et des hydrocarbures, Lantoniaina Rasoloelison a annoncé les différents chantiers dans les énergies renouvelables, notamment de l’hydroélectrique. « Des chantiers sont en cours à Ranomafana, avec une capacité de production de 80 mégawatt et à Sahofika, d’une capacité de 220 mégawatts.
P.R. dans Midi Madagasikara
Créée en novembre 1999 et opérationnelle depuis janvier 2000, l’association AR MADA menée par Christian Gros et ses amis, affiche des résultats concluants : Plus de 300 000 consultations gratuites dans le nord-est et le centre-ouest du pays. Composée surtout de personnel médical venu de France, l’association entend élargir son champ d’action et agrandir la « famille » de soignants bénévoles. Le cortex de l’association AR MADA est composé de personnels de la santé qualifiés, venant de France et œuvrant bénévolement pour prodiguer des soins dans des zones isolées.
Mikama - May 17, 2017
Dans Relief Web
· Preliminary results of SMART nutrition surveys in four districts in the South show GAM rates: below 10 per cent in Tsihombe and Toalagnaro districts and between 10 and 15 per cent in Beloha and Amboasary districts, just below the emergency threshold of 15 per cent. No excess child mortality was observed.
· Except Betioky and Tsihombe districts, severe food insecurity rates decreased significantly compared with both the situation in March 2016 and August 2016.
José Belalahy dans Midi Madagasikara
La période pesteuse 2016 affiche 326 cas de suspicions de peste. Ce qui constitue une grande avancée dans le cadre de la lutte contre ce fléau, malgré le taux de mortalité de 25%. Si Madagascar a été (est connu comme étant le pays qui a enregistré le plus de cas dans le monde, il se définit également comme celui qui a développé des tests de diagnostics rapides.
Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
Problématique. Tel est le point de vue du département d’État américain sur le niveau d’impunité, à Madagascar. Cette entité a publié son rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme et des libertés fondamentales dans les pays du monde, pour l’année 2016. Selon le document de vingt-sept pages qui traite du respect des droits humains dans la Grande île, « parmi les abus des droits de l’Homme les plus importants, il y a l’incapacité du gouvernement à assurer un État de droit, résultant à la corruption et l’impunité ainsi que des abus venant des forces de l’ordre ». Le résumé analytique du rapport termine sur la note que « le gouvernement punissait ou poursuivait rarement les responsables de ces abus et l’impunité demeure un problème ».
RAzafy dans Madagascar Matin
Madagascar s’est doté d’une part d’un Programme national d’investissement agricole, élevage et de pêche (Pniaep) et prévoit de créer deux millions d’hectares de zones d’investissements agricoles en 10 ans et du Programme national foncier (Pnf), d’autre part.
L’objectif global de ces deux Programmes est de réduire le taux de pauvreté de la population, vivant en dessous du seuil de 1,25 dollars par jour en passant de 82% à 20% en 2025, d’avoir un taux de croissance annuelle de 6% pour le secteur Aep s’il n’est que de 2,6% actuellement et de faire progresser les investissements privés dans les trois sous-secteurs.
· Preliminary results of SMART nutrition surveys in four districts in the South show GAM rates: below 10 per cent in Tsihombe and Toalagnaro districts and between 10 and 15 per cent in Beloha and Amboasary districts, just below the emergency threshold of 15 per cent. No excess child mortality was observed.
· Except Betioky and Tsihombe districts, severe food insecurity rates decreased significantly compared with both the situation in March 2016 and August 2016.
La période pesteuse 2016 affiche 326 cas de suspicions de peste. Ce qui constitue une grande avancée dans le cadre de la lutte contre ce fléau, malgré le taux de mortalité de 25%. Si Madagascar a été (est connu comme étant le pays qui a enregistré le plus de cas dans le monde, il se définit également comme celui qui a développé des tests de diagnostics rapides.
Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
Problématique. Tel est le point de vue du département d’État américain sur le niveau d’impunité, à Madagascar. Cette entité a publié son rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme et des libertés fondamentales dans les pays du monde, pour l’année 2016. Selon le document de vingt-sept pages qui traite du respect des droits humains dans la Grande île, « parmi les abus des droits de l’Homme les plus importants, il y a l’incapacité du gouvernement à assurer un État de droit, résultant à la corruption et l’impunité ainsi que des abus venant des forces de l’ordre ». Le résumé analytique du rapport termine sur la note que « le gouvernement punissait ou poursuivait rarement les responsables de ces abus et l’impunité demeure un problème ».
RAzafy dans Madagascar Matin
Madagascar s’est doté d’une part d’un Programme national d’investissement agricole, élevage et de pêche (Pniaep) et prévoit de créer deux millions d’hectares de zones d’investissements agricoles en 10 ans et du Programme national foncier (Pnf), d’autre part.
L’objectif global de ces deux Programmes est de réduire le taux de pauvreté de la population, vivant en dessous du seuil de 1,25 dollars par jour en passant de 82% à 20% en 2025, d’avoir un taux de croissance annuelle de 6% pour le secteur Aep s’il n’est que de 2,6% actuellement et de faire progresser les investissements privés dans les trois sous-secteurs.
Mikama - May 16, 2017
Tiasoa Samantha dans La Vérité
La quantité des marchandises exemptées du droit de douane, importées dans la Grande île a presque doublé, avec une hausse de 46 % contre plus de 25 % pour les autres types de marchandises, selon le Tableau de bord des douanes en fin avril 2017. Les marchandises exemptées du droit de douane comprennent essentiellement certains matériels à caractère éducatif et artistique, les chauffe-eaux électriques, les articles de friperie, mais aussi les dispositifs photosensibles, dont notamment les kits solaires. (..) En termes nominaux, la douane a perçu 616,5 milliards d’ariary durant ces quatre premiers mois, contre une prévision de 570 milliards d’ariary, soit une plus-value de 32 %. On a enregistré une valeur de 2 762,5 milliards d’ariary pour les marchandises soumises à la consommation sur les quatre premiers mois, contre 2 101 milliards d’ariary en 2016 sur la même période, ce qui correspond à une hausse de plus de 31 %. Parmi les autres régimes de faveur à l’importation, il convient de mentionner ceux qui sont accordés aux entreprises et zones franches. Les droits et taxes suspendus dont bénéficient ces dernières se sont élevés provisoirement à 185,6 milliards d’ariary de janvier à avril 2017, dont 78 % pour les matières textiles.
Manou dans NewsMada
Le début des travaux de réhabilitation d’un canal d’une longueur de 3, 100 kilomètres environ dans la zone de l’Anony a dû être ordonné ... La prise de décision entrant dans le cadre du Programme national bassins versants périmètres irrigués (BVPI) du projet «Policy and human resources development» (PHRD) est destinée à améliorer l’irrigation de 4.000 hectares de rizières exploités par plus d’un millier de familles dans le secteur. Financés à hauteur de 830 millions d’ariary, les travaux sont prévus être achevés avant la fin de l’année en cours en vue de la prochaine saison de culture. L’Etat a promis de fournir 21 tonnes de semences aux riziculteurs...
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
La filière canne à sucre constitue un atout majeur pour Madagascar. Cette filière pèse près de 276 milliards d’Ariary, représentant environ 2,8 % du PIB national si son exploitation retrouve son cycle normal. A noter qu’à Madagascar, trois usines sont fonctionnelles à Namakia, Morondava et Ambilobe ; des sociétés qui sont dirigées par le groupe chinois Complant.
La quantité des marchandises exemptées du droit de douane, importées dans la Grande île a presque doublé, avec une hausse de 46 % contre plus de 25 % pour les autres types de marchandises, selon le Tableau de bord des douanes en fin avril 2017. Les marchandises exemptées du droit de douane comprennent essentiellement certains matériels à caractère éducatif et artistique, les chauffe-eaux électriques, les articles de friperie, mais aussi les dispositifs photosensibles, dont notamment les kits solaires. (..) En termes nominaux, la douane a perçu 616,5 milliards d’ariary durant ces quatre premiers mois, contre une prévision de 570 milliards d’ariary, soit une plus-value de 32 %. On a enregistré une valeur de 2 762,5 milliards d’ariary pour les marchandises soumises à la consommation sur les quatre premiers mois, contre 2 101 milliards d’ariary en 2016 sur la même période, ce qui correspond à une hausse de plus de 31 %. Parmi les autres régimes de faveur à l’importation, il convient de mentionner ceux qui sont accordés aux entreprises et zones franches. Les droits et taxes suspendus dont bénéficient ces dernières se sont élevés provisoirement à 185,6 milliards d’ariary de janvier à avril 2017, dont 78 % pour les matières textiles.
Manou dans NewsMada
Le début des travaux de réhabilitation d’un canal d’une longueur de 3, 100 kilomètres environ dans la zone de l’Anony a dû être ordonné ... La prise de décision entrant dans le cadre du Programme national bassins versants périmètres irrigués (BVPI) du projet «Policy and human resources development» (PHRD) est destinée à améliorer l’irrigation de 4.000 hectares de rizières exploités par plus d’un millier de familles dans le secteur. Financés à hauteur de 830 millions d’ariary, les travaux sont prévus être achevés avant la fin de l’année en cours en vue de la prochaine saison de culture. L’Etat a promis de fournir 21 tonnes de semences aux riziculteurs...
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
La filière canne à sucre constitue un atout majeur pour Madagascar. Cette filière pèse près de 276 milliards d’Ariary, représentant environ 2,8 % du PIB national si son exploitation retrouve son cycle normal. A noter qu’à Madagascar, trois usines sont fonctionnelles à Namakia, Morondava et Ambilobe ; des sociétés qui sont dirigées par le groupe chinois Complant.
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Mikama-kely,
Programme National
Mikama - May 15, 2017
Arh. dans NewsMada
Comme les membres de la coopérative l’ont fait savoir, ils assureraient 10% de l’approvisionnement du marché de la capitale. Ils sont près de 1 600 éleveurs, commerçants, grossistes et gérants d’abattoirs à s’être regroupés, en juillet dernier, au sein de la coopérative Mada Omby, pour valoriser et structurer la filière zébu. Cependant, depuis une semaine, la colère monte. Avec les abattoirs que compte actuellement la capitale, ceux d’Anosizato et d’Ampasika sont les principaux chalands des bovidés du Bongolava et du Melaky.
Dans Midi-Madagasikara
122 millions d’euros de dons, soit près de 415 milliards d’Ariary ont été octroyés par l’Union européenne. Ce fonds comprend 40 millions d’euros pour le Programme de Renforcement Institutionnel vers le Développement de la Résilience Agricole (RINDRA) ; 50 millions d’Euros pour le programme d’Appui au Financement de l’Agriculture et aux Filières Inclusives dans le Nord de Madagascar (AFAFI-Nord) ; 30 millions d’euros pour le programme d’Appui Budgétaire (SBC II) pour l’exercice 2017 ; et 2 000 000 d’euros pour la facilité de coopération technique. Selon ses promoteurs, le Programme AFAFI-Nord bénéficiera aux régions Diana, Sava et Analanjirofo ...
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
À Madagascar, les populations défavorisées ou vivant en milieu rural sont souvent exclues du système financier traditionnel. Pour y remédier, la banque à distance apparaît comme une solution crédible. Lors d’un atelier de promotion organisé le 9 mai 2017, l’AFD a lancé un projet de banque à distance. Objectif : donner accès à tous à des services financiers de qualité. En 2014, seulement 5,7 % de la population malgache adulte disposait d’un compte bancaire.
Comme les membres de la coopérative l’ont fait savoir, ils assureraient 10% de l’approvisionnement du marché de la capitale. Ils sont près de 1 600 éleveurs, commerçants, grossistes et gérants d’abattoirs à s’être regroupés, en juillet dernier, au sein de la coopérative Mada Omby, pour valoriser et structurer la filière zébu. Cependant, depuis une semaine, la colère monte. Avec les abattoirs que compte actuellement la capitale, ceux d’Anosizato et d’Ampasika sont les principaux chalands des bovidés du Bongolava et du Melaky.
Dans Midi-Madagasikara
122 millions d’euros de dons, soit près de 415 milliards d’Ariary ont été octroyés par l’Union européenne. Ce fonds comprend 40 millions d’euros pour le Programme de Renforcement Institutionnel vers le Développement de la Résilience Agricole (RINDRA) ; 50 millions d’Euros pour le programme d’Appui au Financement de l’Agriculture et aux Filières Inclusives dans le Nord de Madagascar (AFAFI-Nord) ; 30 millions d’euros pour le programme d’Appui Budgétaire (SBC II) pour l’exercice 2017 ; et 2 000 000 d’euros pour la facilité de coopération technique. Selon ses promoteurs, le Programme AFAFI-Nord bénéficiera aux régions Diana, Sava et Analanjirofo ...
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
À Madagascar, les populations défavorisées ou vivant en milieu rural sont souvent exclues du système financier traditionnel. Pour y remédier, la banque à distance apparaît comme une solution crédible. Lors d’un atelier de promotion organisé le 9 mai 2017, l’AFD a lancé un projet de banque à distance. Objectif : donner accès à tous à des services financiers de qualité. En 2014, seulement 5,7 % de la population malgache adulte disposait d’un compte bancaire.
Mikama - May 12, 2017
Sera R. dans NewsMada
Un investissement de 398 millions de dollars. Les besoins de financement pour dix ans relatifs au plan d’investissement pour la nutrition, dont cinq ans pour le PNAN III, sont estimés à 398 millions de dollars. (...) Coût de la malnutrition. La somme de 740 millions de dollars constitue le total de la charge concernant la malnutrition à Madagascar, soit 7% du PIB par an, selon une étude menée dernièrement par l’Unicef. Plus de 30 millions de dollars par an sont engendrés par le coût excessif des soins de santé au niveau des familles, à cause d’une pratique d’allaitement inadéquate et d’une carence en zinc. 425 millions de dollars par an de dépréciation du PIB à cause d’un déficit mental et de développement physique des enfants lorsqu’ils deviendront adultes et moins productifs. 128 millions de dollars pour les 3 millions d’adultes actifs qui présentent une anémie et qui sont confrontés à une fatigue et une faiblesse chronique.
R.Edmond. dans Midi-Madagasikara
... la situation énergétique de Madagascar qui a un très faible taux d’électrification de seulement 13%. Dans les zones rurales, où 70% de la population malgache réside, seulement 5% d’entre elle a un accès à l’électricité. Grâce à son climat et sa situation géologique, la Grande Ile a le potentiel de résoudre ses carences en énergie. Depuis 2006, Madagascar a tiré profit du réseau fluvial en faisant naître 356 MW de centrales hydro-électriques, qui représentent 70% de la production d’électricité nationale. Bien que les autorités locales veuillent développer les énergies renouvelables, le pays dépend toujours du gasoil et fioul lourd (FOL) : les 30% de production d’électricité malgache restant, proviennent des centrales diesel et fioul lourd de la JIRAMA. Madagascar est un acteur important dans l’extraction de FOL avec une production d’au minimum 6,000 barils par jour. L’utilisation de centrales électriques au fioul permet à la fois au pays d’optimiser ses ressources, réduire ces coups et prétendre à l’autonomie énergétique. Par ailleurs, avec une moyenne de 300 jours ensoleillés par an à Madagascar, l’énergie solaire permettrait en théorie de générer 2,000 kWh/m²/an, ce qui représente la moyenne annuelle d’énergie consommée par habitant au Royaume-Uni.
Mamisoa Antonia dans L'Express de Madagascar
Pas moins de 400 millions de dollars seraient mobilisés par les bailleurs de fonds dans la lutte contre la malnutrition à Madagascar... Madagascar se trouve au cinquième rang des pays touchés par la malnutrition chronique dans le monde. Ceci arrive à engendrer une perte économique de 740 millions de dollars. Les enfants, dès leurs mille premiers jours jusqu’au 24e mois doivent être nourris correctement. Il ne s’agit pas non seulement de se nourrir sainement mais de savoir diversifier les aliments qu’on leur donne. e PNAN III vise à améliorer l’état nutritionnel de la population en réduisant le taux de prévalence de la malnutrition chronique chez les enfants de moins de cinq ans de 47 à 38% à l’horizon de 2021, le taux d’insuffisance pondérale de 32,4 à 25%, en maintenant le taux d’insuffisance pondéral à 5% et réduire le taux des enfants ayant un faible poids à la naissance de 11,4 à 9%.
Un investissement de 398 millions de dollars. Les besoins de financement pour dix ans relatifs au plan d’investissement pour la nutrition, dont cinq ans pour le PNAN III, sont estimés à 398 millions de dollars. (...) Coût de la malnutrition. La somme de 740 millions de dollars constitue le total de la charge concernant la malnutrition à Madagascar, soit 7% du PIB par an, selon une étude menée dernièrement par l’Unicef. Plus de 30 millions de dollars par an sont engendrés par le coût excessif des soins de santé au niveau des familles, à cause d’une pratique d’allaitement inadéquate et d’une carence en zinc. 425 millions de dollars par an de dépréciation du PIB à cause d’un déficit mental et de développement physique des enfants lorsqu’ils deviendront adultes et moins productifs. 128 millions de dollars pour les 3 millions d’adultes actifs qui présentent une anémie et qui sont confrontés à une fatigue et une faiblesse chronique.
R.Edmond. dans Midi-Madagasikara
... la situation énergétique de Madagascar qui a un très faible taux d’électrification de seulement 13%. Dans les zones rurales, où 70% de la population malgache réside, seulement 5% d’entre elle a un accès à l’électricité. Grâce à son climat et sa situation géologique, la Grande Ile a le potentiel de résoudre ses carences en énergie. Depuis 2006, Madagascar a tiré profit du réseau fluvial en faisant naître 356 MW de centrales hydro-électriques, qui représentent 70% de la production d’électricité nationale. Bien que les autorités locales veuillent développer les énergies renouvelables, le pays dépend toujours du gasoil et fioul lourd (FOL) : les 30% de production d’électricité malgache restant, proviennent des centrales diesel et fioul lourd de la JIRAMA. Madagascar est un acteur important dans l’extraction de FOL avec une production d’au minimum 6,000 barils par jour. L’utilisation de centrales électriques au fioul permet à la fois au pays d’optimiser ses ressources, réduire ces coups et prétendre à l’autonomie énergétique. Par ailleurs, avec une moyenne de 300 jours ensoleillés par an à Madagascar, l’énergie solaire permettrait en théorie de générer 2,000 kWh/m²/an, ce qui représente la moyenne annuelle d’énergie consommée par habitant au Royaume-Uni.
Mamisoa Antonia dans L'Express de Madagascar
Pas moins de 400 millions de dollars seraient mobilisés par les bailleurs de fonds dans la lutte contre la malnutrition à Madagascar... Madagascar se trouve au cinquième rang des pays touchés par la malnutrition chronique dans le monde. Ceci arrive à engendrer une perte économique de 740 millions de dollars. Les enfants, dès leurs mille premiers jours jusqu’au 24e mois doivent être nourris correctement. Il ne s’agit pas non seulement de se nourrir sainement mais de savoir diversifier les aliments qu’on leur donne. e PNAN III vise à améliorer l’état nutritionnel de la population en réduisant le taux de prévalence de la malnutrition chronique chez les enfants de moins de cinq ans de 47 à 38% à l’horizon de 2021, le taux d’insuffisance pondérale de 32,4 à 25%, en maintenant le taux d’insuffisance pondéral à 5% et réduire le taux des enfants ayant un faible poids à la naissance de 11,4 à 9%.
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Mikama - May 11, 2017
Arh. dans NewsMada
Raphia, bois, cornes, cuirs … Les ressources artisanales de qualité se font de plus en plus rares sur le marché local. «L’exportation à l’état brut de ces ressources vers les pays étrangers constitue la principale cause de cette situation»... Ayant cette habitude de «cueillette» pour se procurer les matières premières, les artisans malgaches n’ont plus accès qu’à des produits de mauvaise qualité car ceux de bonne qualité sont destinés à l’exportation. La recommandation d’embargo de toutes les espèces de Madagascar inscrites dans les annexes I, II et III de la Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et flore sauvages menacées d’extinction (Cites) y est également pour quelque chose. (..) Le secteur de l’artisanat représente entre 10 et 15 % du Produit intérieur brut (PIB) du pays. Pourtant, les artisans malgaches se plaignent de la morosité de leur commerce face à la rude concurrence, notamment avec les produits chinois vendus à des prix nettement moins chers
Arh. dans NewsMada
Vanille, café, girofle, grains secs… Nombre de ces filières ont du mal à rester compétitives sur le marché international. Les problèmes sociaux et environnementaux sont souvent cités comme sources de problèmes. (..) En citant quelques cas, cet opérateur laisse entrevoir les risques auxquelles s’exposent certaines filières jugées porteuses pour l’économie malgache. En plus de décourager les producteurs, les vols de vanille verte sur pied font baisser la qualité de la vanille malgache. La flambée du prix du pois de cap, faute de production suffisante, pousse certains consommateurs de l’océan Indien à changer leur habitude alimentaire. Une situation que cet exportateur qualifie de «danger» pour l’exportation malgache. A Miandrivazo, plusieurs producteurs de haricot, souvent victimes de bilharziose, sont contraints de dépenser leurs revenus pour se soigner. Du coup, ils n’ont plus les moyens de se procurer des semences ou encore payer le coût de la main-d’œuvre. Et comme certains n’ont plus le moyen de s’acheter des pesticides appropriés, nombreux de terrains se trouvent infestés par les insectes, diminuant en conséquence la qualité des produits.
Julie Razakarinaivo dans L'Express de Madagascar
Dans la capitale, seuls 24 % des ménages disposent d’un accès privatif à l’eau potable, les 76 % restants ont accès à des fontaines publiques. Faute d’eau potable à Madagascar, un appareil de purification d’eau vient d’être lancé, hier, à la commune rurale de Masindray. Une démonstration sur l’utilisation du purificateur s’ensuit grâce au partenariat de l’Association d’Aide Humanitaire (2AH) avec Sunwaterlife. e projet s’est fixé comme objectif d’apporter de l’eau potable dans les villages. Trois régions dont SAVA, Atsimo Andrefana et Atsinanana, ont été choisies pour le premier essai. Ces produits traitent et purifient de l’eau douce polluée, quelle que soit sa source (puits, mares, rivières, lacs).
Raphia, bois, cornes, cuirs … Les ressources artisanales de qualité se font de plus en plus rares sur le marché local. «L’exportation à l’état brut de ces ressources vers les pays étrangers constitue la principale cause de cette situation»... Ayant cette habitude de «cueillette» pour se procurer les matières premières, les artisans malgaches n’ont plus accès qu’à des produits de mauvaise qualité car ceux de bonne qualité sont destinés à l’exportation. La recommandation d’embargo de toutes les espèces de Madagascar inscrites dans les annexes I, II et III de la Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et flore sauvages menacées d’extinction (Cites) y est également pour quelque chose. (..) Le secteur de l’artisanat représente entre 10 et 15 % du Produit intérieur brut (PIB) du pays. Pourtant, les artisans malgaches se plaignent de la morosité de leur commerce face à la rude concurrence, notamment avec les produits chinois vendus à des prix nettement moins chers
Arh. dans NewsMada
Vanille, café, girofle, grains secs… Nombre de ces filières ont du mal à rester compétitives sur le marché international. Les problèmes sociaux et environnementaux sont souvent cités comme sources de problèmes. (..) En citant quelques cas, cet opérateur laisse entrevoir les risques auxquelles s’exposent certaines filières jugées porteuses pour l’économie malgache. En plus de décourager les producteurs, les vols de vanille verte sur pied font baisser la qualité de la vanille malgache. La flambée du prix du pois de cap, faute de production suffisante, pousse certains consommateurs de l’océan Indien à changer leur habitude alimentaire. Une situation que cet exportateur qualifie de «danger» pour l’exportation malgache. A Miandrivazo, plusieurs producteurs de haricot, souvent victimes de bilharziose, sont contraints de dépenser leurs revenus pour se soigner. Du coup, ils n’ont plus les moyens de se procurer des semences ou encore payer le coût de la main-d’œuvre. Et comme certains n’ont plus le moyen de s’acheter des pesticides appropriés, nombreux de terrains se trouvent infestés par les insectes, diminuant en conséquence la qualité des produits.
Julie Razakarinaivo dans L'Express de Madagascar
Dans la capitale, seuls 24 % des ménages disposent d’un accès privatif à l’eau potable, les 76 % restants ont accès à des fontaines publiques. Faute d’eau potable à Madagascar, un appareil de purification d’eau vient d’être lancé, hier, à la commune rurale de Masindray. Une démonstration sur l’utilisation du purificateur s’ensuit grâce au partenariat de l’Association d’Aide Humanitaire (2AH) avec Sunwaterlife. e projet s’est fixé comme objectif d’apporter de l’eau potable dans les villages. Trois régions dont SAVA, Atsimo Andrefana et Atsinanana, ont été choisies pour le premier essai. Ces produits traitent et purifient de l’eau douce polluée, quelle que soit sa source (puits, mares, rivières, lacs).
Mikama - May 10, 2017
Hanitra R. dans Midi-Madagasikara
Avec environ deux millions d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition chronique (47% des enfants de cette tranche d’âge) et 8,6% des enfants souffrant de malnutrition aigüe, la malnutrition devient un véritable problème de développement à Madagascar.
Luz R.R dans Midi-Madagasikara
Le Green N Kool, association socio-culturelle (le statut légale d’entreprise sociale n’existe pas encore à Madagascar), sise à Nosy-Be, lance son crowd funding sur Ulule. Il s’agit d’une collecte de fonds, en numéraire ou en nature, visant à financer la fourniture de leur centre culturel et écologique en matériels adéquats. (..) Green N Kool leur propose tout un éventail d’activités autour des « 4R » : réduire, réutiliser, réparer et recycler. (..) Financement participatif, le crowd funding permet à la population de participer à l’élaboration économique et financière d’un projet. Effectué essentiellement en numéraire, le crowd funding peut également se décliner en matériel, comme c’est le cas pour Green N Kool.
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
La traçabilité et le contrôle des documents sur les minerais relèvent quasiment de l’impossible. Teknet Group avance des solutions. Problématique. Déjà que les vraies données sur l’état réel des réserves minières sont difficilement accessibles dans le pays, la sécurisation des permis d’exploitation minière est une autre paire de manche. L’accès aux bases de données et le suivi des documents administratifs, allant de l’exploitation à l’exportation sont un réel parcours du combattant.
Soa-Mihanta Andriamanantena dans L'Express de Madagascar
Deux millions d’euros. Tel est le montant de financement accordé par l’agence française de développement (AFD) en faveur du projet de promotion de la banque à distance à Madagascar ou PPBDM. Il s’agit d’un projet qui vise à augmenter le taux de bancarisation en milieu rural ... seulement 7 % de la population adulte vivant en zone rurale ont accès aux services financiers. Parmi les 73 % d’adultes en zone rurale, 46 % sont exclus des services financiers même ceux informels
Avec environ deux millions d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition chronique (47% des enfants de cette tranche d’âge) et 8,6% des enfants souffrant de malnutrition aigüe, la malnutrition devient un véritable problème de développement à Madagascar.
Luz R.R dans Midi-Madagasikara
Le Green N Kool, association socio-culturelle (le statut légale d’entreprise sociale n’existe pas encore à Madagascar), sise à Nosy-Be, lance son crowd funding sur Ulule. Il s’agit d’une collecte de fonds, en numéraire ou en nature, visant à financer la fourniture de leur centre culturel et écologique en matériels adéquats. (..) Green N Kool leur propose tout un éventail d’activités autour des « 4R » : réduire, réutiliser, réparer et recycler. (..) Financement participatif, le crowd funding permet à la population de participer à l’élaboration économique et financière d’un projet. Effectué essentiellement en numéraire, le crowd funding peut également se décliner en matériel, comme c’est le cas pour Green N Kool.
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
La traçabilité et le contrôle des documents sur les minerais relèvent quasiment de l’impossible. Teknet Group avance des solutions. Problématique. Déjà que les vraies données sur l’état réel des réserves minières sont difficilement accessibles dans le pays, la sécurisation des permis d’exploitation minière est une autre paire de manche. L’accès aux bases de données et le suivi des documents administratifs, allant de l’exploitation à l’exportation sont un réel parcours du combattant.
Soa-Mihanta Andriamanantena dans L'Express de Madagascar
Deux millions d’euros. Tel est le montant de financement accordé par l’agence française de développement (AFD) en faveur du projet de promotion de la banque à distance à Madagascar ou PPBDM. Il s’agit d’un projet qui vise à augmenter le taux de bancarisation en milieu rural ... seulement 7 % de la population adulte vivant en zone rurale ont accès aux services financiers. Parmi les 73 % d’adultes en zone rurale, 46 % sont exclus des services financiers même ceux informels
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Mikama - May 9, 2017
Navalona R. dans Midi-Madagasikara
Depuis 1990, l’algoculture a été introduite à Madagascar. Un projet intitulé ARPL appuyé par l’Union Européenne et bien d’autres partenaires a été mis en œuvre pour développer cette filière dans les zones entre Toliara et Morombe en 1997. L’objectif étant d’améliorer les sources de revenu des pêcheurs dans la région Sud-Ouest de Madagascar. La culture d’algues s’étend ensuite dans la partie nord de l’île. (..) Les algues sont entre autres très prisées pour fabriquer des additifs alimentaires et des produits cosmétiques. La culture d’algues permet également d’améliorer la qualité de l’eau et de lutter contre les prédateurs des organismes marins », a-t-il enchaîné. Il faut savoir que quatre entreprises, à savoir, Copefrito, Arumes Algue, Natur’Alg et Sovalg effectuent en ce moment une plantation d’algues.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Cette décision a surpris plus d’un surtout que le gouvernement planche sur la relance des investissements pour tirer la croissance économique du pays. Les dernières publications de la banque soutiennent une hausse dans ce sens. Au cours du premier trimestre, Madagascar a fait entrer 85,2 millions de DTS contre 77,8 millions de DTS pour la même période en 2016. Pour soutenir sa décision de relever le niveau du taux directeur à 9 % à partir du 11 mai, l’institution monétaire du pays avance l’envol du taux d’inflation au cours du premier trimestre de cette année, et qui risque de se poursuivre dans les prochains mois. (..) les taux directeurs peuvent être expliqués comme étant le taux d’intérêt principal de chacune des banques centrales, dans le cadre des prêts aux institutions financières commerciales. À travers ce mécanisme, l’institution monétaire du pays veut contrôler l’offre et la demande de crédit, l’évolution des prix ou l’inflation. « Ainsi, cette décision de la banque centrale influence les taux proposés aux ménages et aux entreprises, par les banques primaires. À partir de la date d’application de ce nouveau taux, les clients de ces institutions financières peuvent s’attendre à une hausse du taux d’intérêt »
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Les résultats préliminaires de la recherche menée par l’UNICEF dans le cadre d’enquêtes SMART montrent une prévalence de GAM entre 10 et 15 pour cent dans les districts de Beloha et Amboasary, dans la fourchette de prévalence « élevée » pour le gaspillage, selon les normes de l’OMS (10-14 pour cent) ». Depuis janvier 2017, l’Unicef a fourni de l’eau pour près de 130.000 personnes sur les 740.000 qui n’ont pas accès à l’eau potable dans les six districts les plus affectés. Malheureusement, 610.000 personnes demeurent sans eau potable.
Depuis 1990, l’algoculture a été introduite à Madagascar. Un projet intitulé ARPL appuyé par l’Union Européenne et bien d’autres partenaires a été mis en œuvre pour développer cette filière dans les zones entre Toliara et Morombe en 1997. L’objectif étant d’améliorer les sources de revenu des pêcheurs dans la région Sud-Ouest de Madagascar. La culture d’algues s’étend ensuite dans la partie nord de l’île. (..) Les algues sont entre autres très prisées pour fabriquer des additifs alimentaires et des produits cosmétiques. La culture d’algues permet également d’améliorer la qualité de l’eau et de lutter contre les prédateurs des organismes marins », a-t-il enchaîné. Il faut savoir que quatre entreprises, à savoir, Copefrito, Arumes Algue, Natur’Alg et Sovalg effectuent en ce moment une plantation d’algues.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Cette décision a surpris plus d’un surtout que le gouvernement planche sur la relance des investissements pour tirer la croissance économique du pays. Les dernières publications de la banque soutiennent une hausse dans ce sens. Au cours du premier trimestre, Madagascar a fait entrer 85,2 millions de DTS contre 77,8 millions de DTS pour la même période en 2016. Pour soutenir sa décision de relever le niveau du taux directeur à 9 % à partir du 11 mai, l’institution monétaire du pays avance l’envol du taux d’inflation au cours du premier trimestre de cette année, et qui risque de se poursuivre dans les prochains mois. (..) les taux directeurs peuvent être expliqués comme étant le taux d’intérêt principal de chacune des banques centrales, dans le cadre des prêts aux institutions financières commerciales. À travers ce mécanisme, l’institution monétaire du pays veut contrôler l’offre et la demande de crédit, l’évolution des prix ou l’inflation. « Ainsi, cette décision de la banque centrale influence les taux proposés aux ménages et aux entreprises, par les banques primaires. À partir de la date d’application de ce nouveau taux, les clients de ces institutions financières peuvent s’attendre à une hausse du taux d’intérêt »
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Les résultats préliminaires de la recherche menée par l’UNICEF dans le cadre d’enquêtes SMART montrent une prévalence de GAM entre 10 et 15 pour cent dans les districts de Beloha et Amboasary, dans la fourchette de prévalence « élevée » pour le gaspillage, selon les normes de l’OMS (10-14 pour cent) ». Depuis janvier 2017, l’Unicef a fourni de l’eau pour près de 130.000 personnes sur les 740.000 qui n’ont pas accès à l’eau potable dans les six districts les plus affectés. Malheureusement, 610.000 personnes demeurent sans eau potable.
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